En attendant sa venue en France début 2013, la rédac' te livre les confidences de Conor Maynard, la star qui monte...
Tu vis un conte
de fées. Tu as été remarqué sur Internet et depuis tout le monde veut bosser
avec toi. Qu’est-ce qui t’a poussé à passer du monde des amateurs aux
professionnels ?
J’ai
signé avec Parlophone/ EMI et mon management pour la même raison : je
m’entends bien avec l’équipe. C’est très important pour moi de me sentir
heureux avec les gens qui m’entourent.
Te rappelles-tu de
l’enregistrement de ta toute première reprise, avant de la poster sur You Tube ?
J’avais
scotché deux micros Singstar ensemble, eux-mêmes scotchés à ma tête de lit.
C’est comme ça que j’ai enregistré mes premières reprises.
Tu as bossé
notamment avec Ne-Yo sur le titre « Turn Around ». Comment ça s’est
passé ?
C’est
un des derniers titres que nous avons enregistrés pour l’album et on ignorait
qu’il allait arriver. Stargate a appris que je travaillais avec Ne-Yo et nous
l’a envoyé. « Turn Around » est un peu la pièce qui manquait au
puzzle, je suis très heureux qu’on l’ait reçu à temps. C’est comme si les
étoiles avaient été alignées pour celui-là. Dès que je l’ai entendu, je l’ai
adoré.
Ne-Yo, Pharrell
Williams, tu as rencontré des grosses pointures…
…
J’ai vu tout un tas de gens célèbres. Ludacris,
Tyler The Creator, Lil Wayne… J’ai passé un moment incroyable et j’ai encore du
mal à croire que j’ai travaillé avec Pharrell sur mon premier album. Il dit que
je vais changer la face de la musique pop. Venant de lui, ce n’est pas rien.
Comment s’est
passé la rencontre avec lui ?
La
première fois qu’il m’a téléphoné, c’était pour me signer. Il avait constaté
mes progrès sur YouTube et m’a dit qu’il croyait vraiment en moi.
Le succès est au
rendez-vous, tu décroches de plus en plus de récompenses. Comment vis-tu
ça ?
Tout
ce qui m’arrive est complètement dingue, mais je ne suis pas du genre à me
regarder le nombril. Je me prépare pour la prochaine étape, certainement la
plus excitante. Je ne veux pas que ce tourbillon s’arrête. Ce succès est
franchement dingue. Pour mon premier numéro 2, on a fait une petite fête à
Brighton avec mes copains. On a bien rigolé, mais j’avais l’album à terminer et
c’est ce que j’ai fait.
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