Peux-tu te
présenter en quelques mots pour ceux qui ne te connaissent pas ?
J’arrive tout droit du Québec où je fais de la musique, je fais un peu toutes sortes de choses dans le show-business québécois : j’ai sorti mon album, j’ai participé à une comédie musicale et je suis actuellement en tournée. J’arrive en France avec un tout nouveau single « Si j’étais son soleil ».
Au Québec, tu as participé à la Star Académie, quelles images marquantes gardes-tu de l’aventure ?
C’est la porte qui m’a ouvert le chemin vers l’industrie musicale québécoise. J’avais 20 ans quand j’ai tenté l’expérience. Cela m’a donné la chance de pouvoir travailler avec des personnes de talent, de rencontrer de grands artistes et cela m’a permis de découvrir ce qu’était le showbiz. Après l’émission télé, on a enchaîné avec la tournée Star Ac’, on a fait une cinquantaine de dates et là aussi c’est formateur. Cette expérience m’a donné l’occasion de rencontrer mon public, C’était une belle aventure qui m’en a amené plein d’autres après.
Regrettes-tu de ne pas avoir remporté la finale ?
Non, pas du tout ! En allant à ce genre de concours je n’avais pas vraiment d’attente, je voulais faire bonne impression et prendre le plus de ce que l’on pouvait me donner. Gagner, n’était pas mon but ultime. J’avais déjà beaucoup gagné en faisant partie des finalistes. Ensuite, j’ai eu de nombreuses opportunités, donc c’est un peu comme si j’avais gagné.
Comment as-tu été repéré par Sony Music France ?
C’est grâce à la cover « I See Fire » d’Ed Sheeran que Sony Music France m’a repéré. Ils m’ont contacté via ma maison de production au Québec et s’en sont suivies des rencontres par Skype. Ensuite, je suis venu en France pour rencontrer de l’équipe et c’est ainsi que tout a commencé.
En parlant de « I See Fire », la musique du Hobbit : La désolation de Smaug, es-tu fan de la trilogie et plus généralement du Seigneurs des anneaux ?
J’ai beaucoup aimé Le seigneur des anneaux et je dois dire que je tarde de regarder le dernier film de la trilogie du Hobbit. C’est vrai que ce sont des films que j’aime bien, mais je préfère davantage la musique d’Ed Sheeran. (Rires)
Ça te dirait de faire du cinéma ?
Cela fait partie de mes nombreux rêves. Pour le moment, je suis comblé avec celui de la musique, mais un jour j’aimerais bien me lancer dans cet univers, si l’opportunité se présente bien sûr.
Quand as-tu commencé à chanter ?
Cela fait longtemps, j’avais douze ans quand j’ai commencé à chanter. Rapidement, je suis allé dans une boîte de production, à Sherbrooke près de Québec. C’est là que j’ai commencé à faire des spectacles événementiels, des festivals. De douze à seize ans, j’ai beaucoup chanté. Ensuite, je me suis consacré à mes études jusqu’à l’arrivée de la Star Académie pour mes dix-neuf ans.
> Retrouve la suite des confidences de Olivier Dion avec l’interview spéciale « love », le 14 février prochain, pour la saint Valentin.
Mate le clip « Si j’étais son soleil » d’Olivier Dion et dis-nous ce que tu en penses en laissant un commentaire ou un tweet @StarsLivemag :
J’arrive tout droit du Québec où je fais de la musique, je fais un peu toutes sortes de choses dans le show-business québécois : j’ai sorti mon album, j’ai participé à une comédie musicale et je suis actuellement en tournée. J’arrive en France avec un tout nouveau single « Si j’étais son soleil ».
Au Québec, tu as participé à la Star Académie, quelles images marquantes gardes-tu de l’aventure ?
C’est la porte qui m’a ouvert le chemin vers l’industrie musicale québécoise. J’avais 20 ans quand j’ai tenté l’expérience. Cela m’a donné la chance de pouvoir travailler avec des personnes de talent, de rencontrer de grands artistes et cela m’a permis de découvrir ce qu’était le showbiz. Après l’émission télé, on a enchaîné avec la tournée Star Ac’, on a fait une cinquantaine de dates et là aussi c’est formateur. Cette expérience m’a donné l’occasion de rencontrer mon public, C’était une belle aventure qui m’en a amené plein d’autres après.
Regrettes-tu de ne pas avoir remporté la finale ?
Non, pas du tout ! En allant à ce genre de concours je n’avais pas vraiment d’attente, je voulais faire bonne impression et prendre le plus de ce que l’on pouvait me donner. Gagner, n’était pas mon but ultime. J’avais déjà beaucoup gagné en faisant partie des finalistes. Ensuite, j’ai eu de nombreuses opportunités, donc c’est un peu comme si j’avais gagné.
Comment as-tu été repéré par Sony Music France ?
C’est grâce à la cover « I See Fire » d’Ed Sheeran que Sony Music France m’a repéré. Ils m’ont contacté via ma maison de production au Québec et s’en sont suivies des rencontres par Skype. Ensuite, je suis venu en France pour rencontrer de l’équipe et c’est ainsi que tout a commencé.
En parlant de « I See Fire », la musique du Hobbit : La désolation de Smaug, es-tu fan de la trilogie et plus généralement du Seigneurs des anneaux ?
J’ai beaucoup aimé Le seigneur des anneaux et je dois dire que je tarde de regarder le dernier film de la trilogie du Hobbit. C’est vrai que ce sont des films que j’aime bien, mais je préfère davantage la musique d’Ed Sheeran. (Rires)
Ça te dirait de faire du cinéma ?
Cela fait partie de mes nombreux rêves. Pour le moment, je suis comblé avec celui de la musique, mais un jour j’aimerais bien me lancer dans cet univers, si l’opportunité se présente bien sûr.
Quand as-tu commencé à chanter ?
Cela fait longtemps, j’avais douze ans quand j’ai commencé à chanter. Rapidement, je suis allé dans une boîte de production, à Sherbrooke près de Québec. C’est là que j’ai commencé à faire des spectacles événementiels, des festivals. De douze à seize ans, j’ai beaucoup chanté. Ensuite, je me suis consacré à mes études jusqu’à l’arrivée de la Star Académie pour mes dix-neuf ans.
> Retrouve la suite des confidences de Olivier Dion avec l’interview spéciale « love », le 14 février prochain, pour la saint Valentin.
Mate le clip « Si j’étais son soleil » d’Olivier Dion et dis-nous ce que tu en penses en laissant un commentaire ou un tweet @StarsLivemag :
Le site de Olivier Dion c’est > ICI <
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