À
seulement 23 ans, Christina Perri arrive sur le devant de la scène avec un album qui a fait
craquer la rédaction. On a recueilli les confidences de la star...
Il paraît que tu
ne te sépares jamais de ton oreiller en forme de pingouin, c’est un
porte-bonheur ?
Oui,
mais j’ai failli l’oublier ce matin car j’ai eu un petit problème de planning,
mais c’est résolu et il est là avec moi !
Il y a aussi une
chanson sur l’album qui s’appelle « Penguin », y’a-t-il un
rapport ?
Oui
j’aime les pingouins. Quand j’ai écrit la chanson, mes fans ont commencé à
m’offrir toutes sortes de choses en rapport avec les pingouins comme des
colliers, des photos et d’autres choses. C’est devenu une sorte d’habitude
puisque les fans ont continué et c’est ainsi que j’ai reçu l’oreiller qui
voyage tout le temps avec moi.
Bien entendu, je
dois te demander si tu es fan du film Happy Feet ?
Oui,
bien entendu (rires). J’aime vraiment tout ce qui est en rapport avec les
pingouins. J’ai même un tatouage !
As-tu un rituel
pour lutter contre le stress ?
À
chaque concert, avec mon groupe, on se regroupe dix minutes avant le début. On
se met en cercle pour ressentir l’adrénaline et l’on finit par crier tous
ensemble. On dit une petite prière, je les regarde dans les yeux et je leur dis
à quel point je les aime.
Comment
se caractérisait ta passion pour la musique quand tu étais jeune ?
Je
m’amusais à changer la fin de chaque chanson car je n’aimais pas la façon dont
elles étaient écrites. Je préférais mes propres versions.
Mais
tu t’es vraiment mise à la musique juste après ton divorce, à l’âge de 22 ans…
…
Je me suis enfermée à la maison pour écrire de la musique.
Si tu devais
décrire ton album en quelques mots ?
Émotionnel,
honnête, simple et adorable.
« Je
raconte juste mon histoire de façon très réelle et directe »
Es-tu fan de Christina Perri ?
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